Nouvelles Pan-Africaines

 

 

Renaissance Intégration Union

 

 

Ensemble nous pouvons vaincre le SIDA et accomplir plus. L'information et la volonté en sont les clés.

 

"La vraie richesse d'une nation est sa population. La finalité de toute politique et le but du développement est de créer un environnement permettant aux populations de jouir d’une vie saine, durable et reproductive. Cette vérité simple mais puissante est trop souvent oubliée lors de la poursuite des acquisitions matérielles et de l’accumulation de la richesse".

Ces lignes sont celles du premier rapport des Nations Unies sur le Développement Humain publié en 1990. Le rapport du Développement Humain de 2002 montre un fossé croissant entre ceux qui prospèrent dans ce nouveau monde -- et ceux qui ne le sont pas.

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Chaque jour dans les pays en développement, plus de 30.000 enfants meurent de maladies traitables et préventives telles que la diarrhée, les infections respiratoires aiguës, la rougeole ou la malaria. Ces maladies frappent plus les enfants qui sont chétifs ou faibles. 12 millions de personnes meurent tous les ans du manque d'eau, y compris 3 millions d'enfants de maladie d’eaux contaminées: 1.1 milliard n’ont pas accès à l'eau potable ; 2.4 milliards vivent sans hygiène décente ; et 4 milliards sans canalisation d'eau usée.

"Le niveau de l'inégalité dans le monde entier est grotesque."

Source: http://hdr.undp.org/

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"Les douleurs et misères humaines sont les conséquences des agressions des humains les uns sur les autres, de leurs indifférences aux douleurs et souffrances des autres lors de la poursuite de leurs réalisations, de la satisfaction de leurs désirs égoïstes liés à l'acquisition de la richesse personnelle, des ressources, du pouvoir…".

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Le comité des droits de l'homme de l'Onu condamne le Burkina dans l'affaire Thomas Sankara

08/04/2006

Le Burkina condamné à faire la lumière sur les circonstances de sa mort

Le Comité des droits de l'Homme de l'ONU a tranché, mercredi dernier, en faveur de la CIJS (Campagne internationale justice pour Sankara), opposée à l'Etat burkinabé dans l'affaire dite "Thomas Sankara" (ancien président du Burkina Faso assassiné en 1987), a t-on appris vendredi auprès des défenseurs du défunt président.

"Le fait que la mort de Thomas Sankara puisse être faussement attribuée à des causes autres que celles qui ont causé son assassinat, mine sa réputation et dégrade le sens de sa vie", souligne le verdict du Comité des droits de l'Homme de l'ONU, lu par les avocats de la veuve du défunt président, Mariam et de ses enfants Auguste et Philippe Sankara....SUITE

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Yayi Boni, élu président du Bénin, va tourner la page Kérékou

mercredi 22 mars 2006 (Reuters - 22:47)

par Paawana Abalo

COTONOU - Le candidat indépendant Yayi Boni, nouveau venu sur la scène politique, a été élu nouveau chef de l'Etat du Bénin après avoir remporté le second tour de la présidentielle dimanche dernier, annonce la commission électorale nationale...Suite

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Ellen Johnson Sirleaf officiellement présidente du Liberia

Première femme élue Présidente en Afrique

Source: Griot

Ellen Johson-Sirleaf a officiellement été proclamée présidente du Liberia ce mercredi. Elle l’a emporté sur le footballeur George Weah en obtenant 59 % des voix. Elle est ainsi devenue la première africaine à être élue présidente de la république. La nouvelle présidente s’est déclarée fière de faire un pied de nez à la théorie du "plafond de verre" qui veut qu’il y ait un plafond invisible qu’une femme ou une personne issue des minorités ne puisse dépasser...Plus

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Maroc: 135 blessés dans un violent assaut d'immigrants à Melilla

Source: AFP

MELILLA (AFP) - lundi 03 octobre 2005 - 18h40 - Une nouvelle infiltration massive d'immigrés clandestins d'une violence "inédite" a fait 135 blessés dont cinq graves lundi lors d'un assaut à l'aube dans l'enclave espagnole de Melilla, au nord du Maroc, par un secteur de la frontière réputé infranchissable. Lire Plus

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Casamance : Le temps de la paix

Source: Le Soleil

Photos: BBC

AUTRE CONSEQUENCE DE LA BALKANISATION?

La ville de Ziguinchor a connu, ce jeudi 30 décembre 2004, l’ambiance des grandes fêtes. À la différence que celle-ci revêt un caractère solennel. Les Ziguinchorois ont tous voulu être témoin de l’acte qu’a posé le gouvernement et le Mfdc, acte dont les grands traits sont : - le Mfdc renonce définitivement à la lutte armée - la mise en place d’un groupe d’observation de la démobilisation des ex-combattants - l’intégration de ces derniers dans les corps para-militaires suivant le volontariat - des dispositions pour le retour des réfugiés dans leurs foyers ... Lire Plus

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François-Xavier Verschave : La France pourrait se voir contrainte de cesser sa tutelle militaire
(AFP 08/11/2004)

Auteur de plusieurs ouvrages sur les réseaux africains de la France, François-Xavier Verschave commente les récents développements de la crise ivoirienne.

Quelle responsabilité la France a-t-elle dans la crise ivoirienne ?

La Côte d’Ivoire a été le coeur de la Françafrique, comme Houphouët était au coeur du réseau Foccart. Tout cela se donnait une allure plutôt bonhomme, mais les opposants, parmi lesquels a longtemps figuré Laurent Gbagbo, ont connu la répression, l’emprisonnement, le massacre (exceptionnel, il est vrai). Pour prolonger son règne, Houphouët a aiguisé les antagonismes entre ses successeurs potentiels. Et il leur a laissé des finances en ruines. Gbagbo, son irréductible opposant, incarnait une dynamique anti-impérialiste qui dépassait les clivages régionaux. Il l’a troquée en 1992 pour une mobilisation identitaire, l’ivoirité, et a laissé une frange de ses partisans dériver vers une sorte de « national-socialisme ». La doctrine originale avait prospéré, elle aussi, dans un pays malade.

Gbagbo se serait accommodé de la Françafrique si elle l’avait laissé tranquille. Mais Chirac, Sarkozy, Bouygues et tutti quanti pensaient paresseusement que la Côte d’Ivoire devait rester leur propriété. Ils ont profité des excès de certains fans de Gbagbo pour favoriser une guerre civile.

Puis les apprentis-sorciers ont constaté les dégâts : un pays rendu ingouvernable, une équation politique quasi-impossible. Le jusqu’au-boutisme des uns et des autres aidant, et leur irresponsabilité, la reprise de la guerre menace de plus en plus. Une guerre qui pourrait, de proche en proche, embraser toute la région.

S'agit-il d'un dernier soubresaut de ce que vous avez appelé la Françafrique ?

Gbagbo ne veut pas renoncer à une stratégie discriminatoire en contradiction avec les convictions panafricaines des pères de l’indépendance (et en cela il chausse les bottes d’Houphouët). Mais en même temps il a compris que la rhétorique anti-françafricaine répondait à une aspiration profonde. Comme souvent dans l’histoire, une revendication souhaitable est portée par des leaders peu recommandables. C’est comme ça : la Françafrique a cassé ou assassiné les meilleurs.

Dès lors, la position de l’armée et des ressortissants français pourrait devenir rapidement intenable. On en est à un stade de tension où tout peut s’enclencher sans même que quelqu’un l’ait vraiment décidé : accrochages, embuscades, bavures, attentats, pogroms, « fureur populaire » : le premier accrochage sérieux a eu lieu samedi, suivi d'un avant-goût des réactions de la rue. Les mèches et les explosifs surabondent, de part et d’autre. Le scénario irakien peut se rejouer très bientôt en Côte d’Ivoire, avec les Français dans le rôle des Américains. L’Élysée l’a si bien compris qu’il a envoyé à la tête des 4 000 hommes de l’opération Licorne le patron du Commandement des opérations spéciales (COS), le général Poncet, qui dirigea la sinistre opération Amaryllis au Rwanda en avril 1994 : l’« évacuation de nos ressortissants »... dans la déroute et le déshonneur.

Le souvenir est cruel, car si la Françafrique a été défaite au Rwanda, les Rwandais ont payé très cher le manque de détermination africaine à enrayer le génocide : il vaut mieux ne pas trop compter sur la réactivité de l’ONU. Cette fois, les Africains sont prévenus : ils pourraient avoir à faire face rapidement à une crise majeure. La France pourrait se voir contrainte de cesser sa tutelle militaire, ce qu’elle aurait dû faire dès 1962. Ceux qui militent pour l’émancipation de l’Afrique ne peuvent envisager ce résultat, qu’ils souhaitaient, sans anticiper les responsabilités qui s’en suivront. La plupart de ces militants africains ne sont pas au pouvoir, mais leur influence sur l’opinion pourrait, le moment venu, obliger leurs gouvernements à ne pas se contenter de compter les victimes.

Quel rôle ont pu jouer les "rebelles" dans les derniers événements ?

Les rebelles en tant que tels sont très affaiblis. Mais ils se sont faits les porteurs d'une revendication qui ne pourra être éradiquée, celle d'un accès plus équitable à la citoyenneté.

Quelles personnalités politiques ivoiriennes peuvent émerger de la crise ?

La non-émergence de personnalités susceptibles de proposer une alternative crédible est ce qui conduit jusqu'ici à un pronostic pessimiste. C'est pourquoi nous insistons sur le rôle des autres pays ouest-africains et celui de l'Union africaine.

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CONFÉRENCE DES INTELLECTUELS D’AFRIQUE ET DE LA DIASPORA :

Un réarmement moral face à l’afro-pessimisme

Par Fara SAMBE. Source: Le soleil (Sn)

Vibrante plaidoirie d’Alpha Oumar Konaré en faveur d’une nouvelle citoyenneté africaine, discours de Me Wade qui se dit partagé entre l’inquiétude et l’optimisme… Tous les deux conviennent que le continent doit se forger une identité libérée des préjugés.

Parce qu’il s’agit fondamentalement de réunir les intellectuels d’Afrique et de la Diaspora, l’on avait annoncé quelques chefs d’Etat. Thabo Mbeki d’Afrique du Sud, Pedro Pires du Cap-Vert, Amadou Toumani Touré du Mali et la vice-présidente de Gambie ont rejoint le président Abdoulaye Wade et le président de la Commission de l’Union africaine Alpha Oumar Konaré, lors de la cérémonie d’ouverture d’hier qui a acclamé ces deux orateurs très en verve. Ils ont fait face, pendant une heure 30, aux 700 participants à la première conférence des Intellectuels d’Afrique et de la Diaspora organisée par la Commission de l’UA, après l’avant-première qui avait reçu essentiellement le soutien du colonel Khadafi dont l’adresse par visioconférence est attendue comme un moment privilégié.

Pour une nouvelle citoyenneté africaine

Après l’hymne de l’UA et la présentation du bureau de la conférence, le président Alpha Oumar Konaré s’est longuement prononcé sur les tenants et aboutissants de cette « odyssée intellectuelle » qui débute au pays de la « Téranga ». Il a campé le sujet autour de la nécessité de construire une Afrique moderne, mais non moins « chaude de toute la fraternité antique », selon les termes du poète martiniquais Aimé Césaire. Il a salué la participation des fils d’Afrique «d’ici et d’ailleurs », qui grâce à leur foi en l’avenir et leur engagement à partager les qualités de cœur et d’esprit permettront de pérenniser la rencontre.. Lire Plus.

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RENAISSANCE DU CONTINENT AFRICAIN :

La voie du salut, selon Konaré

Source: L'observateur(Dakar, Sn)

Article par: Hawa BOUSSO, Jeudi 7 Oct 2004

Alpha Oumar Konaré y croit dur comme fer, la renaissance du continent est dans l’ordre du possible. Son bond politico-économique également. Seulement, elle doit passer, selon le Président Alpha Oumar Konaré s’exprimant à l’occasion de la première Conférence des Intellectuels d’Afrique et de la diaspora" qui s’est ouverte hier à Dakar, il va falloir miser sur l’implication massive de l’intelligentsia du continent noir. Pour ce faire, le président de la Commission de l’Union africaine en appelle à la capacité des "citoyens" africains mais particulièrement des leaders d’opinion à faire leurs les forces divergentes que porte le pluralisme politique. De plus, ces derniers, pour aboutir à l’éclosion d’une nouvelle Afrique, ne devront plus craindre la multiplicité des identités associées à une très grande diversité culturelle d’autant que celle-ci saura les reconnaître, les chérir et les valoriser". Toujours dans cette même vision, le Président Konaré est convaincu que le pluralisme religieux et ethnique loin de conduire aux tragédies enregistrées dans certaines contrées comme le Rwanda pourrait être enrichissant lorsqu’il aura été repensé et réinventé. C’est dans ce contexte d’ailleurs qu’il estime que la crise qui sévit au Darfour pouvait être évitée "si chacun des fils de ce grand et vieux pays qu’est le Soudan, comprenait la non violence, mais l’exigence de la participation de chacun à la chose publique, l’exigence d’une plus grande justice, d’une bonne gouvernance ". En dépit de la pandémie du Sida et des conflits qui ne constituent pas une fatalité parce que fruits de la mal gouvernance, " l’avenir peut être africain ", assure Alpha Omar Konaré avant de soutenir que les " seigneurs de la guerre en Afrique doivent connaître les mêmes traitements que les putschistes, liquidateurs des processus démocratiques ". Toutefois, pour en arriver à ce stade, la mobilisation des intellectuels du continent et de la diaspora reste une exigence incontournable. Sur le plan économique, Me Abdoulaye Wade qui présidait l’ouverture de la rencontre plaide pour l’instauration par l’Union africaine d’un code des investissements qui serait applicable à tous les pays membres de l’organisation afin d’éradiquer la concurrence.

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POUR FREINER LA FUITE DES CERVEAUX Wade prône la compensation

Source: Source: L'observateur(Dakar, Sn)

Article Par Hawa BOUSSO,

Paru le Mercredi 6 Oct 2004

A partir d'aujourd'hui et jusqu'au 9 octobre prochain, Dakar sera la capitale des intellectuels d'Afrique et de la diaspora réunis pour trois jours autour d'une conférence internationale, la première du genre. Une occasion saisie par Wade pour stigmatiser ce qui constitue, à côté des guerres civiles, de la pauvreté, de la crise économique, l'un des fléaux du continent africain en l'occurrence la fuite des cerveaux. Et Wade de marteler dans une sorte de cri du coeur que " nous ne pouvons pas continuer d'investir et de former des personnes qui vont travailler pour d'autres économies ". Toutefois, en dépit des dénonciations tous azimuts couplées à des opérations de charme engagées pour le retour des cadres africains au bercail après leur formation, le phénomène se pose encore avec acuité. Dès lors, pour faire face au problème, le Président Wade invite les sociétés et autres entreprises occidentales souhaitant recruter dans l'intelligentsia africaine à s'acquitter d'une compensation financière. Cette pratique, indique-t-il, sera considérée comme un remède à défaut d'arrêter la fuite des cerveaux. D'ailleurs, le président de la Commission de l'Union africaine, maître d'oeuvre de la rencontre, ne dit pas autre chose lorsqu'il affirme que les intellectuels africains ne doivent point se mettre dans une position attentiste s'agissant de leur apport dans le devenir du continent. "Il y a une place, il faut qu'ils l'occupent ". C'est dans ce cadre, selon Alpha Oumar Konaré, que de nouveaux rapports entre les intellectuels et les politiques doivent poindre car " haque intellectuel doit s'interroger sur sa contribution " dans le développement, l'intégration et la renaissance de l'Afrique. Dans cette approche, une grande place est accordée aux intellectuels de la diaspora. Aussi, pour Wade, celle-ci doit s'imprégner des réalités du continent pour lequel elle peut être d'un apport considérable. Devant réunir près de sept cents participants, la rencontre d'aujourd'hui s'est fixée comme objectif de favoriser le contact et le dialogue entre intellectuels africains qui pourront échanger autour de nombreux thèmes tels que " Le Panafricanisme au 21ème siècle ", " La contribution des intellectuels d'Afrique et de la Diaspora à la consolidation africaine au 21ème ...

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Le Canada annule les dettes du Sénégal, du Ghana et de l'Ethiopie

Source: (AFP 22/09/2004)

OTTAWA (AFP) - Le Canada "annule la totalité de la dette de trois pays africains", le Sénégal, le Ghana, et l'Ethiopie, a annoncé mercredi dans un communiqué le ministre des Finances, Ralph Goodale. "Une dette excessive représente l’un des fardeaux les plus lourds affectant la croissance économique des pays africains. L’allégement accordé aujourd’hui permettra à ces pays de consacrer davantage de ressources aux priorités comme la santé et l’éducation, plutôt qu’aux paiements de la dette", a dit le ministre.

Au total, cet allègement représente près de neuf millions de dollars canadiens (7 millions US), souligne le ministère, rappelant qu'Ottawa a déjà annulé depuis 2000 les dettes de la Tanzanie, du Bénin, du Guyana et de la Bolivie. En 2000, Ottawa a lancé "l’Initiative canadienne à l’égard de la dette" en vertu de laquelle, également, cinq autres pays africains - le Cameroun, la République démocratique du Congo, Madagascar, le Rwanda et la Zambie - ainsi que le Honduras ont pu bénéficier d’un gel des paiements de leur dette, selon le ministère. Cette initiative, qui prévoit une annulation d'un total de plus de 1,1 milliard de dollars (847 M USD) de dettes, sert de complément au programme pour la réduction de la dette des pays pauvres très endettés (PPTE). Piloté par le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, le programme PPTE, lancé en 1996, prévoit de réduire de 100 milliards de dollars US l'endettement des pays les plus pauvres.

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Commémoration mondiale de la fin de l’esclavage

Note de RIEASDA: L'image suivante et le commentaire juste en dessous sont extraits de BBC. Nous voulons assurer que l'histoire ne devrait pas être falsifiée et que même si l'esclavage est l’esclavage quelque soit la forme qu’il revêt, la tragédie sans précédent historique qui a humilié et érodé l'Afrique de ses habitants, ne devrait pas être confondue avec une quelconque forme récente d'esclavage. Nous voulons pardonner mais ne pas oublier. La commémoration de la fin de l'esclavage ne devrait pas mettre en première ligne la "participation ou la contribution" des Africains eux-mêmes dans ce commerce honteux et dégradant d’êtres humains. Les pays initiateurs et participants dans ces tragédies devraient faire la ligne de front des commentaires, et les images de leurs méfaits devraient être publiées pour attester de leur barbarie. Il faut bien se poser la question de savoir l'origine, la date et l'auteur de cette image!.

Les Nations Unies attestent que l'esclavage a pris une nouvelle forme

Source BBC: Lire Plus

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Echec de deux tentatives d'émigration vers l'Italie

13aout TUNIS (AP) - Les gardes-côtes tunisiens ont fait avorter ces derniers jours deux tentatives d'émigration vers l'Italie dans lesquelles étaient impliqués 72 ressortissants tunisiens et d'Afrique sub-saharienne, rapporte vendredi la presse tunisienne.004, 21h53.. Lire Plus

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LES AFRICAINS FACE A LA RESOLUTION DE LEUR PROPRE CONFLIT: IL EST GRAND TEMPS DE SE PRENDRE EN CHARGE!

Signature d'un accord de Paix entre belligérants Ivoiriens

Le Courrier d'Abidjan - 7/31/2004 1:19:48 AM

Accord d’Accra III sur la Côte d’Ivoire

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Côte d'Ivoire

Agir pour que la Côte d'Ivoire renoue avec son ancienne gloire, insiste Kofi Annan

29 juillet 2004

En marge du Sommet lui-même, Kofi Annan a inlassablement vanté la stabilité, la prospérité qu'a connue la Côte d'Ivoire aujourd'hui divisée en deux tout en soulignant les efforts faits par un grand nombre de dirigeants du continent pour aider le pays à sortir de l'impasse. Hier soir, à l'issue de son entretien avec le Président Sud-africain Thabo Mbeki, le Secrétaire général de l'ONU, répondant aux questions des journalistes, a fait valoir l'importance que revêtait la stabilité de la Côte d'Ivoire. Il s'agit « d'un pays qui a connu la stabilité pendant si longtemps, un pays qui a été prospère et a vécu en paix, un pays qui a joué un grand rôle économique et politique dans la région, il est important qu'il renoue avec la gloire des jours anciens », a affirmé Kofi Annan qui a ajouté que c'était possible, que la Côte d'Ivoire avait les gens talentueux et sérieux pour cela. Faisant observer que « nous avons tendance en Afrique de dire que nous ne voulons pas nous mêler des affaires de nos voisins mais nous avons découvert au fil des ans que les problèmes ne restaient jamais intérieurs très longtemps », il a affirmé qu'avec des réfugiés qui traversaient maintenant les frontières, des personnes déplacées à l'intérieur du territoire et « un beau pays coupé en deux », il était temps d'agir...Plus

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VIH/SIDA

XVème Conférence internationale sur le sida

La riposte passe par les femmes

Source: RFI

Les dernières statistiques sur la pandémie de sida montrent que le virus frappe aujourd’hui de plus en plus durement la population féminine, notamment en Afrique subsaharienne. Les spécialistes réunis à l’occasion de la conférence de Bangkok ont donc mis en avant la nécessité de mener des actions à destination des femmes pour stopper la propagation du VIH dans les prochaines années.. Lire PLUS

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A PROPOS DES LANGUES AFRICAINES
VERS LA RENAISSANCE AFRICAINE DE CHEICK ANTA DIOP
AVAIT-IL DEFINITIVEMENT RAISON ?

"Ce que l'Africain ne pourra jamais exprimer, jusqu'à ce qu'il abandonne l'utilisation des langues étrangères, est le génie particulier de ses propres langues. L'un des problèmes dramatiques de notre culture est que nous devons nous exprimer en langue étrangère ou garder le silence. Le développement de nos langues indigènes est une condition nécessaire pour une vraie Renaissance africaine. L’on apprend mieux dans sa propre langue parce qu'il y a un accord incontestable entre le génie d'une langue et la mentalité de la personne qui la parle. D'ailleurs en apprenant dans sa propre langue permet l’économie de beaucoup d'années qui auraient été autrement gaspillées dans l'acquisition de connaissance (dans une langue étrangère). À l'allégation que les masses sont acculturées et ne peuvent pas lire, nous répondons: Il est plus facile de leur enseigner un alphabet qu'une langue étrangère. Il n'y a pas en Afrique six cents mais seulement quatre langues pouvant être développé comme instruments d'expression et de véhicule de la pensée africaine entière. Et ceci exige seulement la volonté, la fermeté et la détermination de la part des Africains de se libérer intellectuellement et moralement"

Extrait et traduit de : African Culture: Towards the African Renaissance.
CHEICK ANTA DIOP
(inaedad-rieasda)

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Le swahili déroute (!) les chefs africains

Source: BBC

Le sommet des chefs africains a été perturbé lorsque le président du Mozambique s’est adressé à l’assemblée dans une langue africaine: le swahili. Les fonctionnaires de l’UA ont été embarrassés et cherchaient des interprètes lorsque le Président Joaquim Chissano a offert de traduire lui-même ses propos. L'union africaine emploie l'arabe, le français, l'anglais et le portugais lors de ses sommets. M. Chissano a dit qu'il a fait son message d’adieu comme Président de Union Africaine dans le swahili pour favoriser l'identité et l’émergence des langues africaines. Le swahili est parlé par près de 100 millions de personnes en Afrique de l'Est et il y a des initiatives de l'ajouter à la liste de langues officielles de l’UA... Lire Plus

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OUGANDA

Le président ougandais dénonce les obstacles commerciaux devant la Conférence de l'ONU sur le développement

Source: ONU

17 juin – Le Président de l'Ouganda, Yoweri Museveni, s'est livré à une critique acerbe de la communauté internationale sur la question de l'impact du système commercial multilatéral sur le développement, mercredi à Sao Paulo, lors de la onzième session de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED XI).

Le Président Museveni a logé Nord et Sud à la même enseigne en pointant d'abord du doigt les Africains, qu'il a qualifiés d' « indifférents, voire même d'ignorants » face aux enjeux du commerce international. A son continent « qui se complait dans une ère pré-industrielle », le Président ougandais a demandé de cesser de fredonner en chœur « le nouveau refrain à la mode qu'est l'annulation de la dette ?!!»... M. Museveni a recommandé d'éliminer les barrières tarifaires et de faciliter l'accès sur les marchés des produits africains. Il a formulé la même demande aux pays du Nord, « qui freinent toute ambition commerciale des pays du Sud », .... « Il est temps de mettre fin aux stratégies qui consistent à baser l'essor économique du Nord sur la paupérisation continuelle du Sud », a renchéri le Président de la République dominicaine, Leonel Fernandez Reyna, dans une déclaration pas moins polémique vis-à-vis, en particulier, de ce qu'il a décrit « la duplicité » des Etats-Unis. Le Président Fernandez Reyna a prévenu que la pauvreté du Sud jouerait un jour un mauvais tour aux intérêts des riches qui verront disparaître un par un leurs possibilités d'expansion commerciale. .. Lire Plus

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ONU

11ème Conférence des Nations Unies

sur le commerce et le développement

CNUCED XI: LES PRÉSIDENTS OUGANDAIS ET DOMINICAIN DÉNONCENT LES OBSTACLES AU DÉVELOPPEMENT RÉSULTANT DU FONCTIONNEMENT DU COMMERCE INTERNATIONAL

17 juin- La Conférence s'attaque aux questions de l'impact du système commercial multilatéral sur le développement et de la compétitivité des pays du Sud dans les secteurs les plus dynamiques

Introduisant le thème, le Président de l'Ouganda, YOWERI K. MUSEVENI, a estimé qu'au lieu de travailler collectivement, la race humaine a pour grande faiblesse de faire face aux défis individuellement en employant des méthodes différentes. L'homme ne déploie jamais des efforts concertés même lorsque les occasions se présentent. Au lieu de saisir chaque occasion pour développer les capacités de résoudre les problèmes au profit de tous, l'homme abandonne l'altruisme au profit de l'égocentrisme....Lire Plus

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BURKINA FASO

Pensions des anciens combattants

Source: Sidwaya, Mardi 15 Juin 2004

L'engagement ferme à une réparation digne pour les affres subies par les vétérans Africains:

"Voilà des gens qui ont été arrachés à leur patrie, à leurs familles, qu'on a immatriculés du jour au lendemain et qu'on a jetés dans les différentes tranchées et sur les champs de bataille pour tirer sur des gens qu'ils ne connaissent pas, pour des raisons qu'ils ne connaissent pas, pour défendre un pays qui n'est pas le leur et qu'on exhibe 50 ans après, dans la plénitude de leur misère, tenant à peine debout pour la plupart mais alignés devant la pairie de France pour prendre des peccadilles. Sans blague ! Au terme de la manœuvre , on retient toujours que des Africains sont allés mourir à la guerre en France et que d'autres sont revenus marqués à vie ; pour les premiers, on passe l'opération à perte et profit, pour les seconds on donne des broutilles. Cette manœuvre n'a été possible que parce que la France n'a pas officiellement reconnu le fait historique comme un tort dommageable pour l'Afrique ; le faire l'aurait contrainte à une réparation autrement plus humaine et plus digne. Dune manière ou d'une autre, il faut amener la France à cette extrémité"......Lire Plus

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Côte d’Ivoire

Ben Soumahoro au ministre Bamba Mamadou

“Ne bradez pas notre pays aux étrangers!?”

L'intelligent d'Abidjan - 6/12/2004 3:59:16 AM

...Monsieur le président, la question que je pose est très simple : Comment peut-on nous demander de voter un texte dans l'intérêt des étrangers dans notre pays. Pourquoi a-t-on peur de parler des étrangers dans notre pays ? ...Le président de l'UA, précédemment à Paris, se permet de dire que la Côte d'Ivoire est un pays d'accueil. Nous le savons, il n'a pas à nous l'apprendre. Nous avons des devoirs envers les étrangers mais quel devoir a-t-il lui ? Nous avons toujours accueilli les Maliens ici bien avant qu'il ne soit président de l'UA. Ils sont toujours bien accueillis et nous n'avons pas de problème avec eux. A part le fait que c'est eux qui nous attaquent de temps en temps .....Quand il y a des élections présidentielles au Ghana, les Ghanéens résidant en Côte d'Ivoire votent. C'est la même chose pour les Maliens et les Guinéens. Qu'en est-il pour les Burkinabè. Pourquoi les Mossi ne votent pas pour leur président au Burkina Faso ? On veut nous en faire cadeau. Nous n'en voulons pas des 3 millions de Mossi ici. Nous ne voulons pas de leurs voix .....Lire PLUS

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UNION AFRICAINE

UN AUTRE GRAND PAS APRES LA MISE EN PLACE DU PARLEMENT. N'HESITONS PLUS ET NE NOUS ARRETONS PLUS SUR CETTE AVANCEE POUR LA DIGNITE HUMAINE. LES GENERATIONS A VENIR NOUS JUGERONS TOUS SUR NOTRE VOLONTE ET NOS ACTIONS.

(INAEDAD-RIEASDA)

ADDIS ABEBA (AFP) - Le président en exercice de l'UA, Joaquim Chissano, président du Mozambique, a annoncé la création officielle du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'Union africaine (UA), organe-clef de l'organisation panafricaine, au cours d'une cérémonie solennelle mardi matin (25/05/2004) à Addis Abeba..... Lire PLUS

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GUINEE

Démission de François Lonceny Fall
Premier ministre guinéen

Un
acte historique dans les annales de la Guinée indépendante et Africaine?.

"Malheureusement, les pratiques anachroniques en cours ainsi que la persistance du manque de dialogue tant avec les membres du gouvernement, les acteurs politiques nationaux qu’avec les partenaires internationaux ne sont pas des facteurs encourageants pour la poursuite de ma mission"... Lire PLus.

Les reactions

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BURKINA FASO